Archive pour septembre 2008

Darwich est mort, le poète est vivant

Jeudi 25 septembre 2008

LEBANON-PALESTINIAN-CULTURE

Il a disparu dans les veines

Avec une goutte d’amour

Il a disparu dans la nuit

Avec une étoile filante

Il a disparu dans la mélodie

Avec un éternel soupir

Il a disparu dans les prunelles

Avec une larme précieuse

Il a disparu dans le sommeil

Avec un rêve sonore

Il a disparu dans le ciel

Avec un rayon  démesuré

Il a disparu dans le silence

En gardant une totale présence !

Non,  il n’est pas mort !

Celui qui a changé le monde et les frontières

Celui qui a laissé une mer et une terre !

Nul n’oserait les saisir ou en prendre ?

Cette mer de poésie est à ses amours,

Cette terre d’écrits est à aussi à ses amours.

Elle est unique cette mer….

Douce, émeraude, libre et rebelle

Elle cache les perles du peuple

Et chante l’hymne du pays

Cette mer est aux Palestiniens…..

Elle est unique cette terre…

Belle, élégante, fertile et révoltée

Elle porte le drapeau du pays

Et chante l’identité fière

Cette terre est aux Palestiniens….

Non, il n’est pas mort

Celui qui a laissé une grande plage

Où les enfants édifieront des châteaux,

Et libèreront leurs cerfs-volants….

Où les jeunes rêveront

Et rencontreront leurs amours

Où les vieux viendront respirer et pleurer !

Où le soleil diffusera la vérité au monde entier

Où la lune affirmera les crimes du colonial

Où le ciel versera les larmes du regret…..

Non,  il n’est pas mort !

Celui qui a changé le m

onde et les frontières

Celui qui a laissé une mer et une terre !

Monia Boulila
13/08/08

Peur

Jeudi 25 septembre 2008
CapeletteJ’accueille le grand amour,
Mais je m’inquiète pour les prochains jours !
Où est-ce que je vais le mettre ?
On m’espionne par la fenêtre !

Je le mets dans les yeux ? Ou dans le cœur ?
Oh ! Amour, j’ai peur
D’habitude tu loges dans le cœur !
Et dans les yeux, se voit ton bonheur

J’ai un cœur froissé,
Par les douleurs du passé.
J’ai les yeux cernés
Par l’agressivité abonnée.
J’ai le corps fané,
Par les dures années !
Je suis troublée,
Pour libérer l’amour accablé.

J’ai peur pour toi mon amour !
Je te cache en « moi » toujours !
Un rêve de nuit et de jour.
Je te confie à la lumière du jour,
Et à l’obscurité du soir !
Pour te voir le jour,
Et te serrer le soir ?

Bienvenue sur le site de Monia Boulila

Mercredi 24 septembre 2008

Ambassadrice universelle de la paix

Femme sensible, généreuse et fière, Monia Boulila incarne la grandeur et la beauté de la femme tunisienne.Monia2

Elle chante l’amour de la vie, de son pays et de l’humanité. Mais sans complaisance elle dénonce  ce qui nuit à l’une et aux autres.

Combattante de la Liberté, de l’égalité homme femme, de l’amour, elle met la musique des mots et la chaleur des sentiments au service de la plus belle des causes.

Ce blog a été réalisé pour donner toute l’actualité de la poésie de Monia. Elle y interviendra régulièrement.

Une sélection de poèmes est consultable sur le site : http://monia.boulila.free.fr

Pierre-Marie Perret
Association culturelle Omar Khayyâm